28
Dim, Avr
0 Nouveaux articles

Sassou entraîne le Congo dans le gouffre Commisimpex

Congo B
Typography
  • Smaller Small Medium Big Bigger
  • Default Helvetica Segoe Georgia Times

En décembre, selon les informations du Monde qui a eu accès au dossier, trois importantes décisions judiciaires en France et aux Etats-Unis ont soudain fait avancer le dossier. Un total de 6 millions d’euros venant de comptes français appartenant aux autorités congolaises a déjà été confisqué. D’autres saisies de biens, y compris diplomatiques, doivent avoir lieu. « Ça va être grave pour le Congo », avertit M. Hojeij.

Le Monde (25/12)

Affaire Commisimpex : l’étau se resserre sur le Congo

(...) Le combat entre Denis Sassou-Nguesso et son ancien ami Mohsen Hojeij se rapproche-t-il de son dénouement ? Depuis trente ans, l’homme d’affaires anglo-libanais mobilise les tribunaux du monde entier, de la France auxEtats-Unis, en passant par laBelgiqueet le Royaume-Uni, pour réclamer au président congolais une gigantesque dette, qui se rapproche désormais du milliard d’euros. De quoi déstabiliser les finances du Congo, la somme équivalant à 18 % du PIB du pays.

En décembre, selon les informations du Monde qui a eu accès au dossier, trois importantes décisions judiciaires en France et aux Etats-Unis ont soudain fait avancer le dossier. Un total de 6 millions d’euros venant de comptes français appartenant aux autorités congolaises a déjà été confisqué. D’autres saisies de biens, y compris diplomatiques, doivent avoir lieu. « Ça va être grave pour le Congo », avertit M. Hojeij, joint par téléphone auLiban, où il réside actuellement. Il« ne pourra plus cacher ses actifs ».

En décembre, selon les informations du Monde qui a eu accès au dossier, trois importantes décisions judiciaires en France et aux Etats-Unis ont soudain fait avancerle dossier. Un total de 6 millions d’euros venant de comptes français appartenant aux autorités congolaises a déjà été confisqué. D’autres saisies de biens, y compris diplomatiques, doivent avoir lieu. « Ça va être grave pour le Congo », avertit M. Hojeij, joint par téléphone au Liban, où il réside actuellement. Il « ne pourra plus cacher ses actifs »  (...)

Lire l'article dans son intégralité