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Mar, Mai
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A dire vrai, lemvu n’est qu’un dérivé du mot le-mvuka lequel définit le principe de l’unité sous un angle, à la fois, étymologique et sémantique qui, selon les Koôngo s’avère être, peut-on-dire, la condition si ne qua non du principe de pardon.

A l'occassion de la visite de François Hollande en Afrique, « Le parti socialiste réitère avec vigueur son opposition au prolongement au pouvoir des présidents prêts à tout pour garder le pouvoir au-delà des limites imposées par les Constitutions de leur pays. Il est grand temps qu'ils renoncent dès aujourd'hui à leurs projets déstabilisateurs de pays et de régions entières, et qui vont à l'encontre de la volonté des peuples et des enjeux de l'avenir ». Suivez mon regard...

Plus que jamais décidé à mourir coûte que coûte au pouvoir, le dictateur de l'Alima organise son " dialogue des cons ". Le peuple congolais ? Il l'a habitué depuis plus d'un quart de siècle à avaler les couleuvres. Et celui-ci n'a jamais bronché. Alors, une couleuvre de plus... L'opposition ? Quelle opposition ? Elle n'existe pas. Elle tiendra, bien au frais, dans une salle climatisée, ses conférences de presse qui ne dérangent personne.

Sassou venait tâter le pouls de l'Elysée avant de poursuivre son rêve funeste de mourir au pouvoir, autrement dit de changer la constitution. Le communiqué de  l'Elysée, qui utilise des termes diplomatiques, ne trompe personne. Pas d'exception pour Sassou prié de débarasser le plancher. Les camarades membres qui accompagnent le dictateur dans sa folie seraient bien inspirés de commencer à quitter le navire. Le peuple s'en souviendra peut-être.

La commission préparatoire doit être paritaire alors que celle qui a été publiée est monocolore, essentiellement constituée par des personnalités de la majorité présidentielle. Elle doit avoir entre autres pour missions de rédiger le règlement intérieur, de proposer un ordre du jour, de définir les critères de participation en vue d'établir une liste consensuelle des participants.

Le gestuel un peu désordonné et même brutal, et toujours habile dans l’art d’attribuer ses pensées à autrui, question de ne rien assumer, Sassou a utilisé une métaphore basée sur le sang pour effrayer quiconque nourrirait des velléités de le contrarier dans son projet hasardeux de changer la constitution.

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