Nous interpellons en conséquence, le Parlement congolais, afin qu’il ne ratifie pas cet accord néfaste pour le Congo et son peuple, car, céder une partie des terres congolaises à un pays dont les visées expansionnistes sont avérées, constitue un abandon de la souveraineté nationale.
Alternance familiale et dynastique
Les congolais vont-ils, un jour, relever la tête, se redresser et affronter leur tyran, afin de renverser la table et briser les chaines qui les étreignent ?
Touche pas à mes terres
Des pans entiers de terres cédées ou vendues aux étrangers contre leur volonté et à l’insu de leur plein gré, les Congolais assistent, commr groggy, à la folie de leur tyran. Après les Malaisiens, les Chinois, les Sud-Africains, c’est au tour des Rwandais de se voir attribuer des terres.
Sassou, bientôt aux oubliettes ?
Un certain vent semble souffler en Afrique francophone, après les tripatouillages des Constitutions visant essentiellement la confiscation du pouvoir par le clan régnant.
De la sépulture de l‘archevêque Biayenda à la constitution : stop à la profanation
Au Congo, pays pourtant très policier, il n’y a pas que les tombes qui sont profanées. La constitution, texte sacré s’il en est, subit régulièrement, lui aussi, des violents liftings, voulus par le monarque.
Les maraîchers du viaduc de la Corniche
En bétonnant ces quelques hectares de zone humide jadis cultivés, le promoteur l’a tout simplement asséchée et appauvrie, sans pour autant protéger ses belles villas contre la montée des eaux du fleuve pendant la saison des pluies.
Le chant du cygne du CFCO
CFCO, acronyme de Chemin de Fer Congo Océan. Une ligne ferroviaire chargée d’histoire, marquée du sceau de la mort de milliers d’Africains, un ouvrage laissé quasiment à l’abandon. Plus jamais entretenu ni modernisé alors que pendant des décennies.