Tout le monde le sait, au Congo, tous les chemins de la corruption et des détournements des deniers publics mènent à Sassou. A qui ferait-il croire qu’il ne savait rien, ne voyait rien, ne connaissait personne, lui, qui a une police politique dont les méthodes rappellent celles de la Stasi ?
Avis de tempête sur l’économie du Congo Brazzaville
Le chef de l’Etat, qui n’est resté au pouvoir qu’au prix d’une brutale répression lors des dernières élections présidentielles, doit remettre en cause sa propre gouvernance et ne peut pas se contenter de changer de fonctions une poignée de ministres. Les mauvaises habitudes demeurent, notamment le dérapage des dépenses du clan présidentiel, les réformes sont reportées et l’avenir sacrifié.
Où est passé le projet de la convertibilité Yuan/FCFA ?
Selon les cireurs de pompes de Sassou, l’objectif de cette prouesse était de sortir de la tutelle monétaire étouffante de la France et d’émanciper les pays africains tout au moins ceux de la zone franc Cemac.
Le grand voyage de Wilfried N’Sondé
Un océan, deux mers, trois continents, est un livre courageux. Courageux parce N’Sondé aborde sans complaisance la face cachée de la traite négrière, la participation des Africains eux-mêmes à ce commerce indigne, sujet controversé s’il en est, parmi l’intelligentsia africaine.
Brazzaville : et si c’était la guerre de succession qui commençait !
Une enquête minutieuse et objective nous a aidées à mieux comprendre cela. Nous voulions comprendre, surtout partager ce que nous avons appris : la vérité. Voici comment tout a commencé.
Le Sassouland one Planet Summit, la dernière folie de Sassou
Une folie à plusieurs milliards dans un pays en faillite. C’est en effet énorme. Que rapportera cet événement aux Congolais ? Strictement rien. C’est en tout cas ici la preuve, une fois de plus, que Sassou n’a rien à cirer des Congolais.
Brazzaville parviendra-t-il à conclure un accord en février 2018 avec le FMI ?
Soit le dossier du Congo-Brazzaville est présenté pour examen au Conseil d’administration du FMI de février 2018, soit il devra attendre la réunion du prochain Conseil d’administration. C’est quitte ou double. Ou ça passe, ou ça casse.