La dernière mission du FMI à Brazzaville, en avril, s’était bien gardée de s’engager, demandant « des réformes audacieuses et immédiates dans le domaine de la gouvernance ». Et une renégociation avec les créanciers du pays – dont les traders internationaux Glencore et Trafigura -, à l’égard desquels la dette de Brazzaville est évaluée à quelque 2 milliards de dollars.
RDC : Kabila jette l'éponge
Kabila jette l'éponge en RDC. Il renonce à un 3e mandat consécutif mais présente un fidèle à l'élection présidentielle : Emmanuel Ramazani Shadary, 58 ans, secrétaire permanent du PPRD, originaire de la province du Maniema.
Congo Brazzaville : un pays en manque de crédibilité budgétaire
La République du Congo n’est pas tirée d’affaire. Si l’on croit la communication faite le 20 juillet en conseil des ministres par Calixte Nganongo, ministre des Finances, les recettes budgétaires prévues en 2018 ne seront pas au rendez-vous.
Christel Sassou Nguesso montre les dents et sort les griffes
Après les bombardements par les hélicoptères de combat et les blindés par le père Sassou, place à la distribution à Kinkala par la mère Antoinette du riz, des biscuits vitaminés, des litres d’huile et des cachets de paracétamol et autres médicaments par « Kiki » le voleur.
Effroyable assassinat de jeunes congolais par la police : le gouvernement passe aux aveux
Des jeunes congolais innocents ont été interpellés par la police avant d'être torturés jusqu'à ce que mort s'ensuive, dans un obscur commissariat de police de Brazzaville. Une scène ordinaire dans un pays où le respect des droits de l'Homme ne relève que de la rhétorique constitutionnelle.
Carnage dans un commissariat de police à Brazzaville ?
Selon Trésor Nzila, le directeur exécutif de l’OCDH : « Il y a eu un drame au commissariat de police de Chacona. Les sources varient entre 5 et 14 morts. Les circonstances ne sont pas encore établies ».
sassou entre le marteau du FMI et l'enclume de la contestation sociale ?
Après avoir joué au jeu du chat et de la souris, le président congolais Denis Sassou Nguesso, isolé diplomatiquement, a fini par accepter le principe d'un programme d’ajustement budgétaire sous la houlette du FMI.