Lors des dernières émissions, certains ont eu des propos hostiles vis-à-vis de certains ministres, du président Sassou-Nguesso, et d'un projet éventuel de modification constitutionnelle pour son maintien au pouvoir. Ce qui n'a pas plu à Mvouo, fossoyeur de la liberté d'expression au Congo.
" Le Nord perdra le pouvoir si on ne l'écarte pas dès que possible "
" Il y a ceux qui estiment que le président échouera s'il persiste dans son projet de se maintenir, que la pression internationale sera trop forte, qu'il va dans le mur et que le Nord perdra le pouvoir si on ne l'écarte pas dès que possible ".
« Disparus du Beach » : l’autorité de la chose jugée chère à Sassou a vécu
Le général Dabira, venant du Congo, a été entendu une nouvelle fois par un juge parisien. Sa démarche vaut acceptation par la partie congolaise de la procédure française : une victoire pour les parties civiles dans ce dossier des " Disparus du Beach ".
Si Sassou cherche le peuple, il le trouvera
De retour d’un périple à Cuba le 6 décembre dernier, le dictateur congolais a accordé une conférence de presse à Maya Maya, aéroport international de Brazzaville. Interrogé sur son projet fou de changer la Constitution congolaise dans le but non avoué de mourir au pouvoir, voici ce qu’il répondu.
Requiem pour l’arrogance (Un dernier adieu au clan des sorciers)
Desserrez vos ceintures et quittez le pouvoir, car le vent du changement n'épargne rien. Les poteaux électriques, les arbres géants, les immeubles, les voitures blindés et les chars seront emportés. L'armée ne pourra pas contenir ce peuple désespéré de votre opulence et arrogance.
Le « petit jeu » de Sassou ou le chant du cygne d’un homme fini
« Le petit jeu risible de Sassou, c’est fini. Soit il part de lui-même, tranquillement sans verser un sang inutile, soit il finit dans un caniveau comme Kadhafi, ou alors on l’évacue dans l’indignité comme Compaoré ».
9877 JOURS DE COMBAT POUR UN SERMENT
Le Jeudi 15 Octobre 1987, aux environs de minuit, devant le forfait que venait de commettre Blaise COMPAORE, je prenais un engagement devant le corps de Thomas SANKARA transporté avec les corps de douze (12) autres de ses compagnons au cimetière de Dagnoin en ces termes :