Nous sommes ici dans une dictature militaire, l’une des plus sauvages, et où les hommes en treillis, triés sur le volet tribal, constituent la première muraille de l’autocrate congolais pour la conservation du pouvoir.
Sassou : j’y suis j’y reste
Réduits à la mendicité, au vagabondage et à l’oisiveté, les congolais errent dans leur pays sans véritablement comprendre les raisons de leur sort, ni saisir le sens de leur condition humaine. Maintenus volontairement dans l’ignorance, seuls les réflexes de survie pourraient leur ôter le voile de l’obscurantisme savamment entretenu par les imposteurs qui les gouvernent.
Présidentielle 2021 : Mathias Dzon veut manger du Sassou
Mathias Dzon est candidat à la présidentielle en 2021. Il dit qu'il va gagner, ce qui est bien vrai, car même une mouche contre Sassou l'emporterait haut la main, au regard du ras-le-bol des Congolais, réduits au rang de pauvres esclaves par 40 ans du règne sans partage de Sassou et son clan.
Si le vieux dictateur congolais est un don de dieu, et lui, Dominique Basseyila, de qui est-il le don? Du diable ?
Ce qui est bien dans ce combat contre Sassou et son régime clanique et criminel, c'est que plus on avance vers la fin, plus les masques tombent. Et les faux culs, comme les médiocres, tapis dans l'ombre dévoilent leur vrai visage;
Concertation politique / Dialogue politique ou la tragi-comédie Conflits d'intérêts / Conflits d'incertitudes, que sais-je !
Le Congo Brazzaville est malade de l’incertitude : Incertitude institutionnelle, incertitude pour sa survie comme Etat-nation, incertitude socio-économique et culturelle, incertitude pour sa couche juvénile, 60% de la population, incertitude pour son unité dans une ambiance séparatiste vivace mortifère.
Sassou, le fardeau des Congolais
Le pays est devenu un gigantesque milieu carcéral étouffant tout épanouissement humain et inhibant les énergies. Conséquence, la jeunesse, avenir du pays laquelle aspire à la liberté et à l'émancipation, est embrigadée. Tout est bloqué.
Congo : Mokoko, un beau gâchis
Le général Jean Marie Michel Mokoko, l’ennemi public numéro 1 du vieux dictateur Sassou et son clan, continuerait-il de purger son injuste peine de 20 ans dans un hôpital d’Ankara ?